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Créé le : 25/03/2007 23:32
Modifié : 09/05/2007 21:26

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La vie qui palpite

26/03/2007 05:59

La vie qui palpite


Ivre sans être mort
Sentir l’autre corps
Sentir la vie qui palpite
Sentir l’autre vie qui s’excite.

Abandonné à l’autre plaisir
Qui n’est possible qu’au désir
Qu’à l’amour qui existe
Prolonger l’autre visite.

Les yeux dans les yeux
Les mains sur les autres cheveux
Crispées de plaisir
Se sentir vivre, devenir.

 






Dream of a new dawn

26/03/2007 05:57

Dream of a new dawn


Entre lumière et ténèbres
Entre licorne et Cerbère
Blanc et noir se mélange
Le monde alors change.

Un jour, fleur
Rimera avec malheur
Ou alors terreur
Rimera avec bonheur ?

Noir rimera t-il
Avec espoir ?
Joie et peine
Seront-ils les même ?

Dans un monde en perpétuel changement
Sans qu’on ai le temps de s’en apercevoir
Tout les avenirs son possible, blanc et noir
Peuvent s’unir, sans qu’on ne le voie vraiment.

 






Tableau

26/03/2007 05:55

Tableau


La porte est décrépie,
D'un faux jaune sali.
Cet oiseau fatigué
qui voudrait s'envoler,
C'est le manteau vieilli
A force de rester
Lui aussi accroché,
Comme un truc oublié
Prés du chapeau fringant
Qui donne belle allure
au vieil homme endormi.

Il le mettra bientôt
Sur son front dégarni
Pour cacher le soleil qui
le fera cligner malgré lui...
Et puis il sortira
Armé de son banjo
Et comme un magicien
Il créera son soleil
A lui.

 






J'aime (écrit au masculin)

26/03/2007 05:51

J'aime (écrit au masculin)


Envoûtant mes sentiments
Libérant mon inconscient
J’aime
Je ne suis plus moi-même

Prisonnier de ce charme
J’aime, c’est infernal
Prisonnier de l’autre
J’aime, c’est mon apôtre.

Prisonnier de l’autre
Je suis devenu un être dépendant
J’appréhende ce qu’il ressent
J’aime, c’est tellement envoûtant.

Tombé sur moi, sans le vouloir
Sans le chercher, il est pourtant ici
J’aime, les nuits passé dans son lit
Je suis de l’autre coté de mon miroir





Humilité

26/03/2007 05:49

Humilité


Il est des choses que l’on ressent, il est des choses qu’on ne dit pas.
Des choses que mon humeur de femme, ne peut laisser se dévoiler.
Il est des choses que l’on dément, dont on se cache à chaque pas,
Car tout au fond de nous résonne, de l’arrogance, de la fierté
 
Du fond de mon éducation, viennent des mots qui me sont loi,
Et je me prive alors souvent, d’un sentiment qui réprouvé,
Laisse mon cœur en démission, de son amour et de sa voie,
Et je m’accable de tourments, prostituant ma vérité.

Alors s’enivre la rancoeur, de cette faiblesse aveuglante,
Qui pose en moi de la rancune, assaisonnant ma vanité,
Et je me perds dans la douleur, j’en fais ma maîtresse démente,
Je lui accorde la fortune, laissant mon âme se ruiner.

Et je m’enterre dans le trou que pour une autre j’ai creusé,
Ne voyant pas au fond de moi, le flux de ma cupidité.
Mais c’est alors que tout à coup, vient une étoile de bonté,
Qui cherche à réveiller en moi, la flamme de l’humilité.

Et ma conscience de surcroît, s’éveille et vient se révolter,
Me secouant comme il se doit, de m’être si loin égaré,
De ce chemin tracé pour moi, loin de ces sentier encaissés,
Et je recule, pas à pas, un peu honteuse mais soulagée.

Alors voilà pourquoi papa, je viens te demander pardon,
D’avoir si tôt serré le poing, alors que ta main se tendait,
Et je te serre contre moi, car dans tes bras il fait si bon.
Qu’importe l’avis des voisins… Mon sang au tien est bien lié !

 






Gare des incompris (écrit au masculin)

26/03/2007 05:48

Gare des incompris (écrit au masculin)


Perdus dans le brouillard, le coeur à l’anathème,
Nous avancions blessés, d’un amour bafoué,
Comme des tortillards, sur des voies de bohème,
Nos pas étaient lassés et nos âmes fardées.

Nous n’avons pas pu voir, embrumés de tristesse,
Les quais qui défilaient, caressés par nos flancs,
Nous ignorions la gare, où l’amour en détresse,
Patient, nous attendait, au banc des sentiments.

Mais une de tes larmes se perdit en chemin,
Et sur un aiguillage, se fondit dans la mienne,
Elles coururent à la rame, du wagon du destin,
Et nous donnèrent l’image des causes de nos peines.

Nos tourments esseulés, purent enfin se comprendre,
Laissant parler nos cœurs, qui des maux délivrés,
Battirent en nos côtés, pour mieux nous faire entendre,
Combien durant ces heures, ils s’étaient recherchés.

Nous sommes à présent, aux chants du ménestrel,
Dans ce compartiment, de l’hymne des amours,
J’y serai ton amant, tu y seras ma belle,
De nos vies s’envolant, au son des troubadours.


Pour toi mon seul et tendre amour
Je t’aime.

 

 






Comme un exil

26/03/2007 05:45

Comme un exil


Douleur enfantine
Maladie infantile
Comme un exil
Comme un signe.

Comme un ban
Exclu, pauvre enfant
Impossible de faire autrement
Que de patienter sur un banc.

Pourtant elle est là
Bien que ce ne soit pas un choix
Apprend à la connaître
Puisqu’elle fait partie de ton être.

Fais en une amie
Surtout pas une ennemie
La solitude est là, avec toi
Elle te guidera,
Et assagira tes choix.

 






Au revoir l'Abbé

26/03/2007 05:43

Au revoir l'Abbé


Il était tout à la fois
Aussi bien un homme de foi
Qu'un homme politique ma fois
Célèbre un jour de grand froid.

Connu depuis l'année du gel
En 1954 avec son appel
Il a gardé depuis toujours
Cette envie de donner l'amour

En donnant de l'espoir
Aux gens du désespoir
Il en a sauvé de la mort
Seulement avec du réconfort

Oh bien sur, Emaus il a créé
Ces maisons et ces compagnons
Qui aujourd'hui dans les cités
Recyclent chemises et pantalons

Mais il s'est toujours battu
Pour que les sans logis aient eus
Un toit au dessus de leur tête
Un travail, une situation nette

Il est juste parti au moment
Ou sa loi est au parlement
Mais peut être était il temps
Il avait quatre-vingt quatorze ans

Parfois pour qu'un projet soit accepté
Il faut parfois sa vie laisser
Comme pour les restaux du coeur
Coluche parti, sa loi votée sans pleurs

Ses fils... pas les vrais
Ces Don Quichotte qui effraient
Ne remplaceront jamais
Cet homme si fier
Qu'était l'abbé Pierre

 






Insomnie

26/03/2007 05:41

Insomnie


Et le silence pèse en ces heures ténébreuses,
Sous la valse enivrante de l'insomnie galeuse!
Le marchand de sable ne passera pas à mon chevet!
Les paupières dépérissent tout de noirs colorés!

Orphée aphone ne me chante plus sa douce mélopée,
Je glisse dans les draps de ces errances nocturnes!
En apesanteur dans ce monde où se perd l'identité,
Et tel le loup galeux, solitaire j'hurle à la lune!

Paria de ces fumeux labyrinthes où l'âme voyage,
Dans cette mer houleuse je hisse la voile noire!
Ma barque échouée s'ensable sur ce sombre rivage,
Et fouler la terre promise ne sera pas pour ce soir!

L'âme s'égare sous le poids de mes défaites,
Et dans l'étau de ces remords je me distords!
Dans le tourbillon de l'amertume je le guette!
Mais sous sa pierre tombale le sommeil gît, mort!

Et ces heures qui défilent et lui qui se défile!
Miséreux mon corps funambule parade sur ce fil!
Et cette putain qui tapine veille dans le noir
De ces bras nécrosés m'enserre dans son cafard!

Et dans son regard blafard se meurt mon espoir!
Et de ses lèvres glacées et fétides m'embrasse,
Amoureuse de mon être, gardienne de ce désespoir!
Et la douce nuit se consume mais rien ne l'efface!

Miroir mon beau Miroir mais lui bien sûr il dort!
Alice aussi, mon appel se perd, ô nuits ténébreuses!
Mon corps souffreteux pleure, ô insomnie ravageuse!
Seul recours la pharmacie, îles aux milles trésor!





La vie

26/03/2007 00:02

La vie


***-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-***

Quand on n'a qu'un mur pour tout horizon
Quand on n'a qu'un abîme en guise d'espoir
Quand on traîne avec soi sa propre prison
Quand on n'a que ses illusions pour y croire

Quand on n'a que ses échecs pour souvenirs
Quand on n'a que ses peurs pour se rassurer
Quand on n'a que son présent pour avenir
Quand on n'a même pas de voix pour murmurer

Quand on n'a pour toute révolte que ses larmes
Quand on a pour juge la logique d'autrui
Quand on n'a que son silence pour unique arme
Quand on n'a que sa foi comme ultime appui

Alors, c'est sur cette foi que l'on doit compter
Et se dire que chacun a droit au bonheur
Que cette vie capricieuse, on peut la dompter
Et en faire un havre de paix et de coeur.

 

***-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-***






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