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La vie qui palpite
26/03/2007 05:59
Ivre sans être mort Sentir l’autre corps Sentir la vie qui palpite Sentir l’autre vie qui s’excite.
Abandonné à l’autre plaisir Qui n’est possible qu’au désir Qu’à l’amour qui existe Prolonger l’autre visite.
Les yeux dans les yeux Les mains sur les autres cheveux Crispées de plaisir Se sentir vivre, devenir.
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Dream of a new dawn
26/03/2007 05:57
Entre lumière et ténèbres Entre licorne et Cerbère Blanc et noir se mélange Le monde alors change.
Un jour, fleur Rimera avec malheur Ou alors terreur Rimera avec bonheur ?
Noir rimera t-il Avec espoir ? Joie et peine Seront-ils les même ?
Dans un monde en perpétuel changement Sans qu’on ai le temps de s’en apercevoir Tout les avenirs son possible, blanc et noir Peuvent s’unir, sans qu’on ne le voie vraiment.
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Tableau
26/03/2007 05:55
La porte est décrépie, D'un faux jaune sali. Cet oiseau fatigué qui voudrait s'envoler, C'est le manteau vieilli A force de rester Lui aussi accroché, Comme un truc oublié Prés du chapeau fringant Qui donne belle allure au vieil homme endormi.
Il le mettra bientôt Sur son front dégarni Pour cacher le soleil qui le fera cligner malgré lui... Et puis il sortira Armé de son banjo Et comme un magicien Il créera son soleil A lui.
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J'aime (écrit au masculin)
26/03/2007 05:51
Envoûtant mes sentiments Libérant mon inconscient J’aime Je ne suis plus moi-même
Prisonnier de ce charme J’aime, c’est infernal Prisonnier de l’autre J’aime, c’est mon apôtre.
Prisonnier de l’autre Je suis devenu un être dépendant J’appréhende ce qu’il ressent J’aime, c’est tellement envoûtant.
Tombé sur moi, sans le vouloir Sans le chercher, il est pourtant ici J’aime, les nuits passé dans son lit Je suis de l’autre coté de mon miroir
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Humilité
26/03/2007 05:49
Il est des choses que l’on ressent, il est des choses qu’on ne dit pas. Des choses que mon humeur de femme, ne peut laisser se dévoiler. Il est des choses que l’on dément, dont on se cache à chaque pas, Car tout au fond de nous résonne, de l’arrogance, de la fierté Du fond de mon éducation, viennent des mots qui me sont loi, Et je me prive alors souvent, d’un sentiment qui réprouvé, Laisse mon cœur en démission, de son amour et de sa voie, Et je m’accable de tourments, prostituant ma vérité.
Alors s’enivre la rancoeur, de cette faiblesse aveuglante, Qui pose en moi de la rancune, assaisonnant ma vanité, Et je me perds dans la douleur, j’en fais ma maîtresse démente, Je lui accorde la fortune, laissant mon âme se ruiner.
Et je m’enterre dans le trou que pour une autre j’ai creusé, Ne voyant pas au fond de moi, le flux de ma cupidité. Mais c’est alors que tout à coup, vient une étoile de bonté, Qui cherche à réveiller en moi, la flamme de l’humilité.
Et ma conscience de surcroît, s’éveille et vient se révolter, Me secouant comme il se doit, de m’être si loin égaré, De ce chemin tracé pour moi, loin de ces sentier encaissés, Et je recule, pas à pas, un peu honteuse mais soulagée.
Alors voilà pourquoi papa, je viens te demander pardon, D’avoir si tôt serré le poing, alors que ta main se tendait, Et je te serre contre moi, car dans tes bras il fait si bon. Qu’importe l’avis des voisins… Mon sang au tien est bien lié !
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Gare des incompris (écrit au masculin)
26/03/2007 05:48
Perdus dans le brouillard, le coeur à l’anathème, Nous avancions blessés, d’un amour bafoué, Comme des tortillards, sur des voies de bohème, Nos pas étaient lassés et nos âmes fardées.
Nous n’avons pas pu voir, embrumés de tristesse, Les quais qui défilaient, caressés par nos flancs, Nous ignorions la gare, où l’amour en détresse, Patient, nous attendait, au banc des sentiments.
Mais une de tes larmes se perdit en chemin, Et sur un aiguillage, se fondit dans la mienne, Elles coururent à la rame, du wagon du destin, Et nous donnèrent l’image des causes de nos peines.
Nos tourments esseulés, purent enfin se comprendre, Laissant parler nos cœurs, qui des maux délivrés, Battirent en nos côtés, pour mieux nous faire entendre, Combien durant ces heures, ils s’étaient recherchés.
Nous sommes à présent, aux chants du ménestrel, Dans ce compartiment, de l’hymne des amours, J’y serai ton amant, tu y seras ma belle, De nos vies s’envolant, au son des troubadours.
Pour toi mon seul et tendre amour Je t’aime.
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Comme un exil
26/03/2007 05:45
Douleur enfantine Maladie infantile Comme un exil Comme un signe.
Comme un ban Exclu, pauvre enfant Impossible de faire autrement Que de patienter sur un banc.
Pourtant elle est là Bien que ce ne soit pas un choix Apprend à la connaître Puisqu’elle fait partie de ton être.
Fais en une amie Surtout pas une ennemie La solitude est là, avec toi Elle te guidera, Et assagira tes choix.
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Au revoir l'Abbé
26/03/2007 05:43
Il était tout à la fois Aussi bien un homme de foi Qu'un homme politique ma fois Célèbre un jour de grand froid.
Connu depuis l'année du gel En 1954 avec son appel Il a gardé depuis toujours Cette envie de donner l'amour
En donnant de l'espoir Aux gens du désespoir Il en a sauvé de la mort Seulement avec du réconfort
Oh bien sur, Emaus il a créé Ces maisons et ces compagnons Qui aujourd'hui dans les cités Recyclent chemises et pantalons
Mais il s'est toujours battu Pour que les sans logis aient eus Un toit au dessus de leur tête Un travail, une situation nette
Il est juste parti au moment Ou sa loi est au parlement Mais peut être était il temps Il avait quatre-vingt quatorze ans
Parfois pour qu'un projet soit accepté Il faut parfois sa vie laisser Comme pour les restaux du coeur Coluche parti, sa loi votée sans pleurs
Ses fils... pas les vrais Ces Don Quichotte qui effraient Ne remplaceront jamais Cet homme si fier Qu'était l'abbé Pierre
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Insomnie
26/03/2007 05:41
Et le silence pèse en ces heures ténébreuses, Sous la valse enivrante de l'insomnie galeuse! Le marchand de sable ne passera pas à mon chevet! Les paupières dépérissent tout de noirs colorés!
Orphée aphone ne me chante plus sa douce mélopée, Je glisse dans les draps de ces errances nocturnes! En apesanteur dans ce monde où se perd l'identité, Et tel le loup galeux, solitaire j'hurle à la lune!
Paria de ces fumeux labyrinthes où l'âme voyage, Dans cette mer houleuse je hisse la voile noire! Ma barque échouée s'ensable sur ce sombre rivage, Et fouler la terre promise ne sera pas pour ce soir!
L'âme s'égare sous le poids de mes défaites, Et dans l'étau de ces remords je me distords! Dans le tourbillon de l'amertume je le guette! Mais sous sa pierre tombale le sommeil gît, mort!
Et ces heures qui défilent et lui qui se défile! Miséreux mon corps funambule parade sur ce fil! Et cette putain qui tapine veille dans le noir De ces bras nécrosés m'enserre dans son cafard!
Et dans son regard blafard se meurt mon espoir! Et de ses lèvres glacées et fétides m'embrasse, Amoureuse de mon être, gardienne de ce désespoir! Et la douce nuit se consume mais rien ne l'efface!
Miroir mon beau Miroir mais lui bien sûr il dort! Alice aussi, mon appel se perd, ô nuits ténébreuses! Mon corps souffreteux pleure, ô insomnie ravageuse! Seul recours la pharmacie, îles aux milles trésor!
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La vie
26/03/2007 00:02
***-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-***
Quand on n'a qu'un mur pour tout horizon Quand on n'a qu'un abîme en guise d'espoir Quand on traîne avec soi sa propre prison Quand on n'a que ses illusions pour y croire
Quand on n'a que ses échecs pour souvenirs Quand on n'a que ses peurs pour se rassurer Quand on n'a que son présent pour avenir Quand on n'a même pas de voix pour murmurer
Quand on n'a pour toute révolte que ses larmes Quand on a pour juge la logique d'autrui Quand on n'a que son silence pour unique arme Quand on n'a que sa foi comme ultime appui
Alors, c'est sur cette foi que l'on doit compter Et se dire que chacun a droit au bonheur Que cette vie capricieuse, on peut la dompter Et en faire un havre de paix et de coeur.
***-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-*-.-***
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